Tu

Te voici encore à rêver, ami. Tu te prends au jeu de
la bohême, aux histoires sans début ni fin.
Tu suis ton chemin de prose, ta lutte en éclat de rire.
Tu sais les barbes grises, les auberges miteuses et
le dédain des hommes, tu connais les passes
à tabac, la halte du temps et la course des images.
Toi, mon frère, mon ami. Marchand de rêves,
rameur en galère; marin.
Toi qui tutoierais Dieu si tu en avais rencontre
alentour d’un feu, d’une terrasse, d’un horizon…
Tu es ce sourire laissé par tes contes sur les
visages que porte la rue. Ton Grand œuvre, ta vie.
N’ouvre pas les yeux, continues.
Dieu t’écoute.

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Si tu te sens une âme de chercheur